Selon Mitt Romney, même la gauche Américaine commence à être inquiète de la politique internationale d'Obama

Comme nombre d'observateurs Conservateurs l'affirment depuis longtemps, George W Bush sera regretté bien avant la fin du mandat de Barack Obama.

Comments

[Frédéric]

Il semble que le concept tant décrié de tribunaux militaires ne soient pas une si mauvaise solution pour les djihadistes capturé à l'étranger. Obama à du tourner casaque à ce sujet.

[achille]

Si même la gauche est inquiète alors...
Alors on peut aussi être inquiet,on a le droit d'être inquiet ? C'est ça?...
Mouairf ! Prendre la gauche comme arbitre et référence ,je ne sais pas mais ça me gène qqe part.
Cela ressemble à l'argument de qq'un qui n'est pas sur de ce qu'il pense ou croit et aurait besoin de la caution "morale"(lol)et "intellectuelle"(re-lol)de la gauche

[alexandre]

Il manque deja ne serait-ce que pour sa capacité et celle de son administration à pointer les vraies problèmes et ainsi, à apporter des solutions concrètes et efficaces même si certains pays leurs préféraient des actions placides mais recueillant un large consensus .
Au niveau économique également à travers la gestion réfléchie et efficace des dépenses publiques et des différents budgets. De ce fait malgré les multiples reformes et dépenses engendrés par la guerre contre le terrorisme, le déficit était revenu à son niveau le plus bas depuis 2001-2002 quant au dépenses publiques , elles représentaient moins de 40 % du PIB US contre plus de 51 % pour la FR.
De même les sommes accordées tant au niveau national qu’ international n’ étaient pas dilapidés à fonds perdus comme s’ est le cas depuis…janvier mais, destinés à soutenir de vrais mesure décidés à l’ avance (restructurations , recherche, soutien aux organismes locaux et caritatifs et, pour l’ aide internationale: développement des conditions de vie , promotion des institutions démocratiques … ).
Il ne faut pas oublier non plus sa détermination à faire face aux menaces internationales, à mener les combats dont il savait les USA seuls capables et prêts à mener .
Ou encore les stratégies visant à remodeler le Moyen Orient, contenir la Chine, isoler l’ Iran ou la Corée du nord.
Ses positions fermes et ses propos directs qui, à défaut de valoir partout admiration et soulagement , inspiraient au moins la crainte et la mesure .
Nous pouvons enfin ,d’ hores et déjà regretter la cohérence de ses actions et de son comportement qui par dela la fierté qu’il avait à représenter les Etats-Unis manifestait une grande humilité face à la fonction présidentielle.
Au moment ou l’Iran développe l’ arme nucléaire et envoie ses premiers satellites avec la Corée du Nord qui par ailleurs met en avant ses capacités de frappe , narguant la communauté internationale , l’ arrivée de la grippe porcine , ou la méfiance des investisseurs qui peine à redresser les cours de la bourses , les réponses se font attendre ou ne sont tout simplement pas à la hauteur des enjeux.
Le G 20 par exemple faute d’ identifier le problème s’ est contenter, de dirigisme ,d’ épingler quelques paradis fiscaux secondaires mais, rien qui ne puisse libérer les forces économiques et permettre le retour à la croissance.
l’Amerique aurait tout interet à ne pas se contenter de rechercher la popularité et savoir qu’ il est des lieux ou elle ne le sera jamais et ou il est préférable qu’ elle ne le soit pas .
L’ administration Bush l’ avait compris , c’est en cela qu’ elle manque deja.