Barack Hussein Obama, le candidat girouette
Il ne fait pas bon de s’allier avec l’extrême-gauche lors des primaires démocrates dans une élection présidentielle. Obama l’apprend toujours un peu plus chaque jour. Le candidat démocrate, sous la pression de ses conseillers, a recentré son discours sur l’Irak. Obama a semé le trouble jeudi en déclarant qu’il se réservait le droit «d’affiner» son point de vue sur ce dossier.
S’il est un thème de démarcation entre les deux candidats à la Maison-Blanche, c’est bien le dossier irakien. Alors quand l’un des deux laisse entendre qu’il pourrait peut-être changer de ligne politique au cœur de la campagne, partisans et adversaires ont de quoi rester perplexes.
C’est pourtant ce qui est arrivé à Barack Hussein Obama, jeudi dernier, en meeting à Fargo, dans le Dakota du Nord. En évoquant son prochain voyage en Irak, le sénateur, qui prône depuis un an et demi le retrait immédiat des troupes, a déclaré : «Je vais me livrer à une évaluation sérieuse quand j’y serai», a-t-il affirmé. «Je suis sûr que j’aurai plus d’informations et que je pourrai continuer à affiner ma politique.»
Tollé chez les gauchistes, les déclarations du candidat girouette Barack Hussein Obama n’ont pas tardé à semer le trouble, dans ses propres rangs.
Conscient du caractère contradictoire de ces propos avec ses promesses de campagne faites jusqu’ici, il s’est senti dans l’obligation de convoquer la presse afin de clarifier ses intentions.
«Pour moi, dire que je vais affiner mes politiques n’entre absolument pas en contradiction avec tout ce que j’ai pu dire avant», a déclaré samedi Obama à des journalistes présents à bord de son avion de campagne.
«Je suis surpris car chaque mot était finement pesé. Je n’ai rien dit de différent de ce que j’ai dit depuis un an, ou depuis mon entrée au Sénat», a-t-il poursuivi.
Ce retournement de veste n’a logiquement pas échappé à l’équipe de campagne de John McCain, qui a dénoncé les incohérences de son discours. «Ce qui rend perplexe, c’est qu’Obama ne se rende toujours pas compte que ses mots ont une importance», a dénoncé samedi le porte-parole de l’équipe de campagne républicaine, Tucker Bounds.
La gauche est déjà déçue alors que Barack Hussein Obama a entamé sa campagne comme candidat officiel depuis moins d’un mois…
Quel sera le prochain revirement de Barack ? Qui sait, peut-être demain il deviendra subitement pour le droit qu’a le peuple de détenir et de porter des armes ? Faisons les paris !
Il faut beaucoup d’expérience pour être Président des États-Unis d’Amérique et il n’en a aucune. Encore une ou deux boulettes de ce genre et on en parlera plus…
Neoconservative.